Vers la fin du 19eme siècle la seule source de profit est le « Port au Cerises », d’où partent pour le marché parisien les cerises de Mainville (jusqu’à 200 tonnes par an), les poires de l’Ermitage et les asperges de la Plaine des sables qui s’étendait sur Draveil et Vigneux, à bord des Coches d’eau tractées par une demi-douzaine chevaux sur le chemin de halage.